L'atelier de partage de monitoring des violations des droits des migrants a été tenu le 24 mars dans la salle de réunion de l'Hotel Sahel de Niamey. Cette activité rentre dans le cadre du projet PROMIG financé par l'Union Européenne et cofinancé par l'AFD et la Coopération Suisse, mis en œuvre par l'ONG JMED et Forum réfugiés-cosi. l'Atelier a été parrainé par la Commission Nationale des Droits Humains (CNDH), en présence de nombreux partenaires dont la Direction des Migrations au Ministère de l'intérieur, la CNCLPT/TIM, les OSC, la CNDH, le CESOC, le Réseau parlementaire sur la migration, ONUFEMMES, OIM, etc..

Le monitoring a été réalisé d'avril à février 2022 à travers deux missions à Agadez et à Tahoua, mais aussi à travers un monitoring continu à travers des enquêtes continues via un outil conçu sur Kobo Tool Box.

Il en ressort plusieurs violations de droits des migrants commises par divers acteurs notamment les forces de sécurité, les passeurs, les autres migrants, de fois des membres de la communauté. l'accès à la justice pour les migrants victimes est problématique, ce qui se justifie par la peur chez les migrants. le durcissement des controles des mouvements migratoire a contribuer à augmenter la vulnérabilité des migrants.

Les rapports de monitoring fournissent ainsi aux OSC des données probantes, basée sur les réalisé de terrain afin de soutenir leur plaidoyer en faveur des droits des migrants